FESTIVAL 2024

Rendez-vous du 25 mai au 9 juin

Soirée d'inauguration - vendredi 24 mai 2024

15 photographes sélectionnés pour les projections

Kathie ARRESTEILLES, Yvon BUCHMANN, Maria CATUOGNO, Maxime CROZET, Mara DE SARIO, Marie DOCHER, Pierre GABLE, Pierre GÉLY-FORT, Frédéric JAMAIN, Alain LICARI, Liis LILLO, Véronique LOH, Aline ROBLES, Maylis ROLLAND, David TATIN.

Le tintamarre (Conservatoire de musiques…)
Montélimar (26)
Samedi 27 mai – 20h30

Cinéma Le Regain
Le Teil (07)

Samedi 03 juin – 20h30

Cinéma Les Templiers
Montélimar (26)
Samedi 17 juin – 11h

Kathie ARRESTEILLES

Trop facile trop beau le patron s'appelle Bruno

Yvon BUCHMANN

Rêve d'Afrique

Maria CATUOGNO

QOYA

Maxime CROZET

L' Irak par-delà les rives

Mara DE SARIO

Les filles sages

Marie DOCHER

ET L'AMOUR AUSSI

Pierre GABLE

Les Imparfaits

Pierre GÉLY-FORT

The Dark LOVE BOAT

Frédéric JAMAIN

PYRAMIDEN

Alain LICARI

L'odeur de l'or et du sang. Orpailleurs de Guinée.

Liis LILLO

Habit-A/ Passage/En attente du départ de la glace

Véronique LOH

D'autres soleils

Aline ROBLES

SERENITY

Maylis ROLLAND

30 semaines

David TATIN

A travers la frontière

Les expositions

THÈMES

WILLIAM KLEIN - PLAY PLAY PLAY (Programmation en cours)
MIROIR FRANCE-JAPON
LE RHÔNE, NOTRE FLEUVE
L'HUMAIN AU COEUR DE LA PHOTOGRAPHIE

DRÔME

9 photographes exposés
15 photographes en projection
9 lieux

ARDÈCHE

6 photographes exposés
15 photographes en projection
9 lieux

WILLIAM KLEIN - PLAY PLAY PLAY

MIROIR FRANCE - JAPON

Centre d'art Espace Chabrillan

MONTÉLIMAR, centre ville

127 rue Pierre Julien

04 75 52 10 84

Lundi, mardi, mercredi : Fermé

Jeudi, vendredi : 15h – 19h

Samedi, dimanche : 11h – 19h

© YAMAMOTO MASAO. Courtesy galerie Camera Obscura
www.galeriecameraobscura.fr
Yamamoto Masao est né en 1957 à Gamagori, petite ville littorale de la province d’Aïchi au Japon. Après des études en arts plastiques, il s’oriente vers la photographie. Son travail est tout d’abord montré au Japon au début des années 1990 (Tokyo Metropolitan Museum of Photography), mais c’est aux États-Unis, où il expose régulièrement à partir de 1994, qu’il rencontre le succès qui lui vaudra une audience internationale. En 1998, il publie « A box of Ku », son premier livre, chez Nazraeli Press. En 2006, la galerie Camera Obscura présente pour la première fois une exposition personnelle de Yamamoto en Europe. Son audience n’a cessé de s’étendre et il est certainement l’un des photographes japonais les plus exposés et publiés. Plus que les paysages, Yamamoto a souhaité ici photographier des gens, explorer leur relation à la campagne. De petites mises en scène ont illustré avec fantaisie ce qui apparaissait important dans leur vie : les animaux qu’ils élèvent, les paysages qu’ils habitent.

YAMAMOTO Masao

Son album

Jardin municipal

MONTÉLIMAR, centre ville

Accès : par la gare SNCF ou par les allées provençales

Exposition en plein air – 24/24

De 1961 à 1964, en plusieurs voyages, Klein découvre Tokyo. Il quitte les cérémonies officielles pour s’enfoncer dans un Tokyo en plein chamboulement qui prépare les jeux olympiques de 1964. Klein photographie des sportifs, un combat de sumos, des enfants dans un stade de baseball, de culturistes…et une étonnante performance de « boxe- peinture », mais aussi des prostituées, des acteurs de rue, une manifestation antiaméricaine… A la fin des années 90, Klein reprend ses négatifs de Tokyo des années 60 pour les retravailler en contact peints.

William KLEIN

TOKYO + KLEIN

Conservatoire intercommunal de musiques et théâtre

MONTÉLIMAR, centre ville

5 rue Bouverie

04 75 00 77 50

Lundi, mardi, mercredi, jeudi : 10h – 12h / 13h30 – 19h

Vendredi : 10h – 12h / 13h30 – 18h30

Samedi, dimanche : 15h – 19h

Cette exposition présente le travail du reporter-photographe japonais de l’AFP Yasuyoshi Chiba, ancien chef des photographes pour l’Afrique de l’Est et l’océan Indien qui est désormais basé à en Indonésie pour couvrir l’actualité de la région. Basé à Nairobi, il a suivi les bouleversements d’un continent africain qui essuie, année après année, de douloureuses épreuves, celles d’une sécheresse endémique, de la violence inter-ethnique, de l’exode rural ou d’une nature en danger. Chacun de ses clichés, un troupeau d’éléphants à la recherche d’un point d’eau, une vieille femme en détresse, est composé comme une histoire à part entière. Il parcourt le monde, du Brésil à l’Ukraine en guerre, témoigne des tumultes de l’actualité et fait surgir du chaos des instants figés et limpides.

Yasuyushi CHIBA

Titre à venir

Galerie JEAN-LOUIS AMICE

MONTÉLIMAR, centre ville

15 boulevard Meynot

04 75 51 12 13

Lundi : Fermé

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi : 9h — 12h30 / 14h – 19h30

Dimanche : 9h — 12h30

L’exposition Japon, dans le chant du vent de Bernard Coste, nous invite à écouter le paysage japonais : son bruissement, son mystère ; plus particulièrement ces instants où se confondent naturel et surnaturel. Ces instants qui suggèrent d’autres mondes, tant il est vrai que la réalité factuelle recouvre mal la diversité du monde dans toute sa complexité. Dans la veine du monologue intérieur, les photographies noir et blanc de cette exposition — qui conjugue tirages classiques et gravures photopolymères — nous conduisent comme à la lisière de notre propre inconscient, guidés par un regard photographique qui prend le risque d’images fantasques voire paradoxales. Les visages y sont furtifs, les bêtes captives, les songes grinçants, et les paysages magnifiés.

Bernard COSTE

Japon, dans le chant du vent

LE RHÔNE, NOTRE FLEUVE

Viviers (07)

Débarcadère

Place de la République

Châteauvieux

Expositions en plein air – 24/24

Rhodanie est une série photographique suivant le cours du Rhône sur plus de 850 km, depuis sa source dans le Valais, jusqu’à ses embouchures en mer Méditerranée. Récit paysager jouant à embrasser dans un même regard des réalités multiples, ces images exploitent les modes de domestication des espaces naturels afin d’observer les usages et les différentes formes de résiliences à l’œuvre auprès des habitants et des territoires traversés. Donnant à voir le fleuve comme un spectacle permanent, ces images construisent dans un dialogue entre le paysage fluvial et l’espace frontière qui le borde, une interrogation sur ce qui se joue entre le fantasme d’une nature encore sauvage et son caractère pourtant profondément domestiqué. Dans cet écart, se révèlent aussi les modes de réappropriations du fleuve qui témoignent de son pouvoir d’attraction toujours actuel.

Bertrand STOFLETH

Rhodanie

Passerelle himalayenne et place de la Cala à Meysse

ROCHEMAURE (07)

Allée du vieux Pont

MEYSSE (07)

Place de la Cala

Expositions en plein air – 24/24

Les Enfants du fleuve est un projet qui a pour point de départ la découverte d’une île située dans le delta du Rhône, en Camargue. Après y avoir séjourné plusieurs mois, la photographe marseillaise Yohanne Lamoulère mène, en 2020, des ateliers à Port-Saint-Louis-du-Rhône ainsi qu’à Marseille autour de la notion subjective d’insularité, puis décide de construire une embarcation à partir de matériaux de récupération : “Anita” naît de la rencontre fortuite d’une péniche abandonnée et d’une caravane. Elle va naviguer et circuler par étapes, à contre-courant, de la mer Méditerranée jusqu’au glacier du Rhône, afin de raconter et documenter un territoire de 812 kilomètres de long, représentant 17 % de la superficie du territoire métropolitain. La photographe a rapporté sur ses pellicules une galerie de portraits où l’on croise des figures populaires et merveilleuses, à l’instar de cette embarcation utopique. Le Rhône, dont la pollution de l’eau a été reconnue par l’État français, apparaît comme un fleuve dompté et fragile, ambivalent et fantasque.

Yohanne LAMOULERE

Les enfants du fleuve

Parc du centre d’art et d’histoire ANDRÉ AUCLAIR

CRUAS (07)

14 Av. Marcel Cachin

Exposition en plein air – 24/24

« J’ai trois amies. Elles sont prodigieuses et elles sont bergères. A force de les suivre et de les photographier, j’ai voulu moi aussi partir en montagne avec les brebis. Et c’est comme ça que j’ai commencé à garder. Devenir bergère comme une façon de me bricoler un espace de liberté dans un monde trop étroit. Mais à l’heure où les forêts n’en finissent pas de brûler et les murs de s’ériger, cet espace est bien fragile et le terrain accidenté ». Mêlant des textes très courts à ses photographies, Vanessa Chambard livre un récit intime de son expérience, dans lequel elle aborde aussi des sujets plus larges et collectifs, tels que les questions de genre, les conditions de travail, l’écologie, le rapport aux animaux et plus largement, le rapport au monde.

Vanessa CHAMBARD

Devenir bergères

La Fabrique de l'Image

MEYSSE (07)

2 rue de l’oratoire

06 63 25 17 95

Exposition en plein air – 24/24

Après avoir photographié des zones de conflits (Bosnie Herzégovine – Moyen Orient…) puis voyagé dans de nombreux pays (Mongolie, Namibie, Sénégal, Inde, Arménie, Kamtchatka, Brésil, Argentine…), Sophie Hatier s’éloigne du reportage et se concentre depuis une quinzaine d’années sur une approche plus plasticienne et sensorielle du paysage, du portrait et du vivant en général (France, Islande, Norvège…). Dans ses paysages, qu’elle préfère nommer Espaces, elle brouille volontairement les repères spatiaux et temporels. Amoureuse de la couleur, gommant toute anecdote, ses images sondent la limite entre le concret et l’abstrait et le point de bascule entre la photographie et la peinture.

Sophie HATIER

Année des treize lunes, Camargue

L’HUMAIN AU CŒUR DE LA PHOTOGRAPHIE

La caravane-Monde (ancien temple)

LE TEIL (07)

45 rue Kleber

Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi : Fermé

Samedi, dimanche : 15h – 19h

Pour cette exposition, je vais présenter une image par année, débutant en 1970 à l’âge de 17 ans alors que j’étais encore étudiant, et se terminant en 2023 avec mon dernier voyage en Irak sur la route de Kerbala, entouré de millions de chiites. Le choix de la photo est parfois évident, comme pour le 11 septembre, mais pour d’autres années, c’est plus complexe. En 1980, par exemple, devrais-je choisir une image de la guerre Iran-Irak ou du pape en Pologne ? Sélectionner une image par an relève de l’impossible, chaque image sera accompagnée d’un texte où je tente de restituer l’histoire de l’année. Avec quelques millions d’images en 53 ans, j’ai consacré ma vie à interroger le monde sans trouver de réponse jusqu’à présent.

Michel SETBOUN

Raconte pas ta vie 

Ancienne église Saint Jean-Baptiste

MEYSSE (07)

Rue de la vieille église

Horaires à venir

Ludovic Slimak est certainement l’un des meilleurs spécialistes des sociétés néandertaliennes. Chercheur au CNRS et auteur de plusieurs centaines d’études scientifiques sur ces populations, il a dirigé des missions archéologiques de l’équateur au cercle polaire. Il a pisté inlassablement Néandertal depuis 30 ans. Ses derniers livres, publiés dans plus de 15 langues offrent un regard dissonant, dérangeant, qui interroge profondément la nature des humanités passées, tout autant que notre manière de la concevoir et les raisons de leurs étonnantes extinctions. Chercheur, musicien, photographe, voyageur, il se veut aussi penseur à la croisée des mondes et des cultures.

Ludovic SLIMAK

Regards Croisés

Galerie JEAN-LOUIS AMICE

MONTÉLIMAR, centre ville

15 boulevard Meynot

04 75 51 12 13

Lundi : Fermé

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi : 9h — 12h30 / 14h – 19h30

Dimanche : 9h — 12h30

J’ai passé neuf mois à Maputo, la capitale du Mozambique, en 2011-2012. Je faisais un stage de fin d’étude, comme professeur de FLE dans une petite structure Mozambicaine. Les premiers mois de mon arrivée, j’ai photographié tout ce que je voyais avec un vieux téléphone portable, qui avait du grain et même un temps de latence ! Mais c’était bien. Je passais incognito, je me plongeais dans les choses comme un danseur dans son mouvement, je pouvais même photographier sans cadrer. Ce qui comptait c’était le mouvement, de marcher et d’être en marche, de ne pas s’arrêter. Surtout de ne pas s’arrêter, car la capitale m’a désarçonné à mon arrivée : j’étouffais. Les hauts immeubles dégradés par l’humidité, les voitures qui fonçaient en trombe, le manque de verdure, de trottoirs, les poubelles qui brulaient le soir… Après un accident de bateau, au bout de quatre mois, j’ai perdu mon téléphone portable. Alors j’ai changé ma manière de photographier : j’ai repris mon reflex et mes pellicules N&B et j’ai photographié mes voisins, jusqu’à la fin de mon séjour, sur le toit plat de notre immeuble. Dès que je les voyais, que la lumière était belle, je leur disais : on se fait une photo dans notre studio en plein air ?

Thibaud YEVNINE

Maputo

Librairie CHANT LIBRE - Prix du public 2023

MONTÉLIMAR, centre ville

22 place des clercs

04 75 01 92 22

Dimanche : 11h – 19h

Lundi : Fermé

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi : 9h — 19h

Le lien qui peut unir des parents à un enfant handicapé m’apparaît, pour l’avoir observé, comme quelque chose d’unique et de méconnu. Sans nier la souffrance de part et d’autre, j’ai voulu concrétiser par des images ces gestes d’amour, montrer la joie que peut exprimer un enfant handicapé, la connivence qui s’installe souvent entre lui et ses parents. Cela me paraît important car les obstacles à l’intégration de ces enfants sont souvent dus à l’ignorance, la peur, voire l’incompréhension de la part de l’autre devant la différence. Rompre l’isolement des parents comme des enfants est un peu l’ambition de ce projet. Leur courage et leur combat en valent bien d’autres. Oui, ces enfants sont heureux et ont des parents qui les aiment. C’est le message que j’espère faire passer à travers ces photos.

Nathalie TIROT

A bout de cœur

Grilles du Lycée Alain Borne - Prix du public 2023

MONTÉLIMAR, centre ville

10 place du théâtre

Exposition en plein air – 24/24

KEN WONG-YOUK-HONG, photographe connu également sous le pseudonyme de L’OEil de Ken, perçoit le monde qui l’entoure avec une sensibilité déconcertante. Il capte l’âme des personnes qu’il photographie en laissant son regard empreint d’humanité diriger son objectif. Ses photos s’inscrivent dans une démarche citoyenne et poétique, et défendent un meilleur vivre ensemble. Sa perception des sentiments humains et son oeil sur celles et ceux qui l’entourent lui permettent de capter les âmes qu’il croise sur sa route et de leur donner vie à travers les émotions qu’il saisit et retranscrit dans ses clichés. Caro, Audrey, Mathieu, Johnny, Jonas, Aaron…sont des femmes et des hommes meurtris par la vie, forts et fragiles, qui survivent chaque jour et chaque nuit à la violence de la rue et lutte au quotidien contre toutes les tempêtes. Elles et ils sont ma famille de coeur et je me suis engagé à leur rendre leur dignité, cette lumière que notre société leur a ravi. Cette série de portraits leur est dédiée.

Ken WONG-YOUK-HONG

Mémoires d’oublié.e.s

Librairie BAUME

MONTÉLIMAR, centre ville

52 Rue Pierre Julien

04 75 01 26 73

Dimanche : Fermé

Lundi : 14h – 19h

Mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi : 9h — 12h30 \ 13h30 — 19h

L’image, qu’elle soit photographique ou cinématographique, a toujours été présente dans mon existence et son influence dans la construction de mes livres, est nette. J’écris, la plupart du temps, à partir d’images, images, que je fais, que je trouve, ou encore faites par d’autres. Mon écriture opère par fragments, la question de la mémoire y est omniprésente, et chaque fragment peut être perçu comme un flash photographique. J’ai également l’habitude de construire mes livres comme si je fabriquais une exposition photographique, ou comme si je montais un film. La série présentée, bois hiver, n’est pas tant l’illustration en images de mon dernier texte, Lungomare, que sa possible suite, une suite peut-être plus hivernale. J’ai le double espoir que ma prose suscite des images, et que mes photographies, dans leur caractère suspensif, soient romanesques.

Sébastien BERLENDIS

Bois d’hiver

Radio MICHELINE

MONTÉLIMAR, centre ville

32 rue Roger POYOL

Horaires à venir

Ce projet raconte le Refuge Solidaire de Briançon, un lieu d’accueil inconditionnel où les exilé-es qui viennent de traverser la frontière des Alpes entre l’Italie et la France sont hébergé-es pendant quelques jours avant de continuer leur voyage. Des bénévoles de tous horizons et de tout âge viennent aider, certains pour quelques jours, d’autres y retournent régulièrement depuis des années. Des salarié-es tiennent le lieu au quotidien en restant à l’écoute de toutes les personnes qui passent. Dans mes photographies, comme dans ce lieu, se croisent exilé-es, salarié-es et bénévoles, je me demande souvent qui est qui, qui se cherche, qui se trouve et où ira chacun-e après cette expérience. Je ne pose pas toutes les questions et je ne reçois pas toutes les réponses. Chaque visage est une polyphonie qui garde une part de mystère. J’utilise une Afghan box qui est à la fois une chambre grand format et un laboratoire argentique mobile ; elle est aussi et surtout un outil de rencontre. Elle me permet de photographier une personne, de réaliser un négatif papier que je conserve précieusement et ensuite un petit tirage noir et blanc que j’offre à la personne elle-même. Ce tirage offert est le véritable original de l’œuvre. Il voyage au fond des poches, entre les billets de train, parfois plié dès que je tourne le regard, le plus souvent gardé soigneusement comme le miroir d’un soi légèrement inconnu, dont on essaie d’appréhender la complexité.

Tomas BOZZATO

Le refuge

09 janvier 2024

Adhérez à l'association pour 2024

Devenir Adhérent à PRÉSENCE(S) PHOTOGRAPHIE,  c’est soutenir une structure, ambitieuse et indépendante, et faire perdurer la vocation du festival.
À travers cette manifestation conviviale notre ambition est de faire vivre, sur notre territoire, une photographie d’auteur ouverte au monde et à ses différentes cultures. Surtout nous voulons offrir au public et aux photographes une occasion de rencontre avec les grands noms de la photographie et une visibilité aux jeunes talents.Grâce au soutien de tous, partenaires, adhérents, photographes, bénévoles, le festival a réussi son décollage. Ensemble, nous assurerons sa perénité.

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